Avec ses murs à pignons, son toit de tuiles aux extrémités relevées et ses nombreuses fioritures, impossible de manquer la pagode confucéenne Kien An Cung (Chua Ong Quach), l'ancienne maison du mandarin Quach. Des boiseries dorées très travaillées et des fresques délicates flanquent l'autel. Il fait face à une cour à ciel ouvert, le « puits céleste », où brûle l'encens qui permet d'entrer en contact avec les divinités.