Vers 1580, le doyen de la cathédrale se fit construire cette luxueuse demeure. Il n'en reste qu'un escalier et deux salons, sauvés in extremis d'une démolition destinée à agrandir le cinéma qui avait déjà fait disparaître le reste. En 1953, on y découvrit des fresques éblouissantes, exemple exceptionnel de peintures murales profanes du 16e s. La première salle représente les sibylles, la seconde salle illustre les Triomphes de Pétrarque, un ouvrage pourtant interdit quelques années plus tôt par l'Inquisition !